Ainsi mentent les hommes – Kressmann Taylor

Auteur : Kressmann Taylor
Année : 1953 (pour la nouvelle la plus récente)
 
Résumé :
Quand la douleur ou le désarroi sont trop forts, quand les émotions
nous bousculent, le bruit, l’odeur, le simple mouvement d’un arbre ou
d’une source peuvent nous apaiser. Omniprésente dans ces nouvelles de
Kressmann Taylor, la nature est la grande consolatrice. Confrontés à un
père tyrannique, à un professeur frustré, à des adultes qui mentent,
les adolescents mis en scène avec subtilité par l’auteur ne retrouvent
leur équilibre profond que dans cette immersion hors des hommes.
Humiliation, remords, mélancolie, solitude scandent ces quatre
histoires toutes banales, toutes simples, faussement simples, bien sûr,
car elles cristallisent admirablement nos ambiguïtés et nos tensions.
On reconnaît dans ces textes courts la sensibilité, la finesse
d’analyse de l’auteur d’Inconnu à cette adresse, sa capacité de saisir
à vif nos déchirures, nos blessures minuscules.

Mon avis :
J’ai essayé de lire ce livre à la suite de Harry Potter et les reliques de la mort afin de « poser » un peu mon esprit de la fantasy, des mondes parallèles et autres créatures imaginaires (ou pas…).

Ce livre est composé de 4 nouvelles:
1. Humiliation / The Pale Green Fishes
2. Remords / The red slayer
3. Mélancolie / The Midas Tree
4. Solitude / The Blown Rose

Seulement voilà, ces textes sont des amas de descriptions et j’ai une tolérance très faible à ce genre de lectures. L’action n’avance pas, ou très peu. Ce n’est donc tout simplement pas pour moi. Je ne peux pas dire grand chose de plus. J’ai été déçue car j’attendais beaucoup de ce thème.

Malgré les sujets très intéressants, j’ai abandonné ce live à la page 53, au cours de la seconde nouvelle.

Par conte j’aime beaucoup la couverture 🙂