L’île au rébus – Peter May

***** Coup de cœur !

Quatrième de couverture :

Voilà vingt ans qu’Adam Killian est mort sur Groix, cette île où jamais aucun crime n’avait eu lieu de mémoire d’homme mais où ce retraité anglais, passionné d’entomologie, a été brutalement assassiné. Et depuis vingt ans sa belle-fille tient scrupuleusement le serment qu’elle lui a fait de ne rien déplacer dans son bureau, là où le défunt a laissé des indices qui permettraient à son fils de confondre son meurtrier, sans imaginer que celui-ci trouverait la mort quelques jours après lui ni que personne ne parviendrait à identifier le coupable. Tenu par sa promesse d’élucider cette quatrième affaire non résolue du best-seller Assassins sans visages, Enzo Macleod, le spécialiste des scènes de crime, débarque sur la petite île bretonne où nul ne souhaite voir ressurgir ce fait-divers infamant. Dans le bureau d’Adam Killian l’attendent un étrange rébus et les plus insondables secrets de la vie d’un homme.
Avec cette nouvelle énigme de sa série française, Peter May nous invite à un huis clos oppressant sur l’une des îles les plus fascinantes du littoral breton.

Avis :

Chose que je fais de plus en plus rarement : acheter un livre au hasard, sans qu’il m’ait été conseillé de quelque manière que ce soit. C’est le cas de ce livre, alors que je venais de récupérer le dernier Mercy Thompson de Patricia Briggs. La couverture a attiré mon regard, puis le titre (ah ce titre !! il promet de l’énigme, du mystère, un huis clos !). La quatrième de converture a complété le trio gagnant.

Je ne connaissais ni Peter May, ni l’île de Groix. A présent je souhaite lire d’autres livres de Peter May et aller faire un tour sur l’île de Groix. Peut-on dire que c’est un pari réussi ?

J’ai de suite pris en sympathie le détective Enzo Macleod (d’ailleurs, à chaque fois que je lisais son nom, j’enchaînais avec « Macleod, du clan Macleod », accompagné du générique d’Highlander dans la tête…) et ai adoré son périple lors de cette enquête.

J’ai assez vite compris le « thème » du meurtre mais sans en deviner les détails. Du coup j’ai eu des surprises jusqu’à la fin de l’histoire malgré le fait d’avoir découvert un peu en avance la raison du meurtre.

Cette histoire, sans chambouler le genre, se lit très facilement et avec plaisir.

Je vais certainement lire les autres livres de la série avec Enzo Macleod (du clan Macleod).

L’île au rébus, Peter May, Rouergue, 2009 (2017 pour l’édition française)

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