Les cinq quartiers de l ‘orange – Joanne Harris

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Auteur : Joanne Harris
Année : 2001 (2002 pour la traduction française)
Titre original : Five quarters of the orange

Quatrième de couverture:

Lorsque Framboise Simon revient dans le village de son enfance sur les rives de la Loire, personne ne reconnait la fille de la scandaleuse Mirabelle Dartigen, tenue pour responsable de l’exécution de onze villageois pendant l’occupation allemande, cinquante ans auparavant. Framboise ouvre une auberge qui, grâce aux délicieuses recettes de sa mère, retient l’attention des critiques, mais suscite les jalousies de sa famille. Le carnet de recettes de Mirabelle recèle des secrets qui donneront à Framboise la clé de ces années sombres. Peu à peu, elle découvrira la véritable personnalité de sa mère, parfois si tendre, maternelle et sensuelle, subitement cruelle et tourmentée. En temps de guerre, les jeux d’enfants et les histoires d’amour ne sont pas toujours innocents. Leurs conséquences peuvent même être tragiques.


Mon avis :

Tout d’abord je m’excuse car j’ai mis énormément de temps avant d’écrire ce billet après la fin de ma lecture. Je n’ai plus les détails en tête et n’ai pas pris énormément de notes… chose que je ne fais jamais. J’aurais pu approfondir la critique… mea culpa.

Nous oscillons entre le présent et le passé de Framboise. Dans le présent, elle est une inconnue au village (elle essaye au moins de passer le plus incognito possible). Dans le passé, elle fait malgré elle, et comme plein d’enfants, de la collaboration avec les allemands. Une collaboration involontaire. Des échanges de potins contre du chocolat, des oranges, des bas soyeux, des magasines, … Des potins qui peuvent coûter des vies. Cela est dû à un homme. Thomas Leibniz, son premier amour.

Cette histoire est également celle d’une famille. Grâce au cahier de recettes léguée par sa mère, Framboise va connaître un peu mieux cette femme hautaine et sévère. Cette touche de fantaisie me surprend et me déconcerte. Comment cette femme au cœur de pierre et si prosaïque avait-elle pu entretenir en secret de telles pensées ? (p.16) Mais ce cahier annoté est convoité par les enfants de son frère… qui vont pousser jusqu’au harcèlement. Heureusement, Framboise, on le voit tout au long du roman, tient de sa mère, est forte.

Ce livre met un point sur la nécessité de la communication entre les membres d’une même famille.

Un bon roman!

Lu dans le cadre d’une lecture commune avec Bladelor et Fersenette !

PS. Je m’excuse encore pour ce billet qui ne met pas le livre vraiment en valeur, billet qui a été écrit à la va-vite… on ne m’y reprendra plus ! I promise.

14 commentaires sur “Les cinq quartiers de l ‘orange – Joanne Harris

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  1. Sandrine (SD49) >> C’est un très bon livre c’estbien vrai ! En plus s’il se passe vers chez toi, tu a dû être plus réceptive fersenette >> C’est un roman qui reste Par contre j’aurais bien aimé savoir pourquoi l’odeur de l’orange gêne tant la mère.

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